La muraille de Pombie est particulièrement représentative de l'escalade élégante et épurée que l'on peut y rencontrer.
La muraille de Pombie, toujours aussi majestueuse |
Premier jour, nous sommes allés faire la voie des surplombs en sortant en haut des vires depuis le cirque gris. Comme je m'étais déjà fait la réflexion, c'est une voie plus longue qu'il n'y parait.
Cet itinéraire constitue un excellent premier contact avec le style d'escalade que l'on peut rencontrer ici.
C'est parti pour la deuxième longueur |
Ca va être l'occasion de pousser mes seconds dans leur retranchement. Cette variante est vraiment magnifique, très technique et dans le pur style "combat de rue" en fissure large...
La suite est plus classique et on navigue en prenant soin d'éviter les fameux surplombs ! Bonne gestion du tirage indispensable...
La pena telera en fond au départ de la voie des vires |
Deuxième jour, nous partons pour un chef d’œuvre Ravieresque, la sud est classique. Dans cette voie, la beauté de certains passages n'a d'égal que l'implacable logique de l'itinéraire.
Les filles dans la grande traversée du départ
Nous parcourons avec enthousiasme "les escaliers gris", puis le magnifique dièdre parfait qui lui fait suite.
Dans le haut de l'itinéraire, un astucieux crochet à gauche puis à droite, permet de contourner un toit pour donner accès au couloir de sortie.
La première longueur qui traverse à gauche sous le toit |
Une cordée au dessus de nous qui fait la traversée à droite au dessus du toit |
Fin de la tarversée qui donne accès au couloir de sortie. Tout en bas, le refuge... |
Isabelle, pas mécontente d'arriver dans le couloir de sortie |
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